Jusqu'à ce jour, il était majoritairement
convenu par la communauté scientifique que l'impact d'une météorite avec
la Terre a amenée à la disparition des dinosaures il y a 65 millions
d'années. Aujourd'hui, de nouvelles études confirment que les pluies
acides découlant de cet impact ont joué un rôle important dans
l'extinction de ces colosses.

Des chercheurs japonais viennent une nouvelle fois d'appuyer la thèse selon laquelle la disparition des dinosaures de la surface de la Terre il y a 65 millions d'années trouve son origine dans un impact d'une énorme météorite.
La météorite n'aurait pas directement entrainé la mort de ces espèces, mais entrainé un véritable bouleversement climatique, un cataclysme sans précédent. Ainsi, l'explosion aurait entrainé la formation d'un épais nuage sur une grande partie du globe, entrainant un véritable déluge de pluies acides venant polluer la terre et les océans.
Les chercheurs japonais ont tenté de recréer les conditions de notre Terre lors de la dernière extinction massive
des dinosaures. Selon eux, l'impact de la météorite de Chicxulub qui
est venue frapper la péninsule du Yucatan au Mexique aurait vaporisé des
roches riches en soufre, amenant à la formation d'un épais nuage de
trioxyde de soufre ( SO3).
En se mélangeant à la vapeur d'eau présente dans l'atmosphère, le gaz créé provoque des pluies d'acide sulfurique. À force de pluies, la couche supérieure des océans se serait acidifiée, tout comme la terre. L'écosystème de la planète entière aurait ainsi été impacté par ces changements, amenant à la mort de milliers d'espèces.
Les planctons auraient été les premières victimes de l'acide, puis
l'impact se serait progressivement diffusé sur l'ensemble de la chaine
alimentaire. La théorie se veut crédible quand dans le même temps, on
sait que les espèces d'eau douce ont plus facilement survécu à ces
conditions, du fait de la présence de plus de minéraux dans l'eau qui
auraient alors joué les protecteurs.
Les espèces capables de se réfugier dans les profondeurs ou suffisamment résistantes à ces nouvelles conditions ont survécu à ce chamboulement. La réduction des espèces leur offrant plus de place pour se multiplier et de nouveaux territoires à conquérir. On estime que 60 à 80 % des espèces vivantes n'auraient pas survécu à ce cataclysme.
En marge des pluies acides, une autre théorie domine toujours : celle
de l'hiver nucléaire déclenché par le nuage formé par l'impact de la
météorite. Le voile de poussière soulevé par l'impact aurait bloqué une
grande partie des rayons du soleil pendant plusieurs années, réduisant
la température au sol. Un phénomène a double impact pour les dinosaures,
incapables de se réchauffer au soleil, et incapables de se nourrir des
plantes qui ont besoin du soleil pour se développer.
http://www.generation-nt.com/pluies-acides-finalement-origine-fin-dinosaures-actualite-1863272.htmlLa météorite n'aurait pas directement entrainé la mort de ces espèces, mais entrainé un véritable bouleversement climatique, un cataclysme sans précédent. Ainsi, l'explosion aurait entrainé la formation d'un épais nuage sur une grande partie du globe, entrainant un véritable déluge de pluies acides venant polluer la terre et les océans.

En se mélangeant à la vapeur d'eau présente dans l'atmosphère, le gaz créé provoque des pluies d'acide sulfurique. À force de pluies, la couche supérieure des océans se serait acidifiée, tout comme la terre. L'écosystème de la planète entière aurait ainsi été impacté par ces changements, amenant à la mort de milliers d'espèces.

Les espèces capables de se réfugier dans les profondeurs ou suffisamment résistantes à ces nouvelles conditions ont survécu à ce chamboulement. La réduction des espèces leur offrant plus de place pour se multiplier et de nouveaux territoires à conquérir. On estime que 60 à 80 % des espèces vivantes n'auraient pas survécu à ce cataclysme.

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